Cette analyse médico-économique a permis également de mettre en lumière le faible nombre de données sur l'efficacité des associations d'anti-hypertenseurs sur la morbi-mortalité cardiovasculaire. Ceci malgré le nombre croissant d’associations fixes mises sur le marché et la tendance à utiliser une association dès la 2e ligne de traitement, voire en 1re ligne. À tel point qu'il ne serait pas possible d’évaluer leur place dans la stratégie thérapeutique. Le seul élément établi est la nocivité et l’inefficacité de l’association ARAII+IEC.
Actuellement en France, seules les associations fixes à faibles doses ont une AMM en instauration de traitement. Les bithérapies (hors bithérapie faiblement dosée) représentent cependant 18 % des primoprescriptions (11 % en association fixe, 7 % en association libre).
Un cardiologue porte assistance à une passagère en plein vol : « je n’aurais jamais imaginé vivre une telle situation »
Arrêt maladie : vers un allongement du délai de carence ?
Covid : la pandémie n’a pas provoqué de hausse durable des troubles anxieux en France, selon SPF
Dr Joëlle Belaisch-Allart (CNGOF) : « La clause de conscience spécifique à l’IVG n’est plus nécessaire »