Ils ont été initialement développés dans le cadre de la recherche médicale. C’est par exemple le cas de la 4-fluorocaïne et de la 2-hydroxycocaïne. Certains de ces dérivés comme la 4-fluorotropacocaïne possèdent une structure très proche de la cocaïne. D’autres (lidocaïne, diméthocaïne...) s’en éloignent légèrement et ont peu de propriétés psychoactives.
Diffusion, présentation
Ils sont disponibles dans certains sites de vente en ligne en tant que « Research chemicals ».
Consommation
Le mode de consommation est le sniff. Il existe très peu d’informations sur les consommations. Des produits comme la lidocaïne ou la procaïne sont surtout utilisés pour couper ou diluer la cocaïne. La lidocaïne est parfois prise pour ses effets intrinsèques dans le cadre d’un usage récréatif. Les usagers l’emploient alors pour son effet « stimulant léger, différent des amphétamines ».
Les effets, les risques
Les premiers effets indésirables constatés pour la lidocaïne, sont d’ordre neurologique : nervosité, tremblements, logorrhée, voire convulsions. Sur le plan cardiaque, les premiers signes d’intoxication sont une tachycardie, puis une dépression cardiovasculaire, des troubles du rythme pouvant conduire à l’arrêt cardiaque.
Etude et Pratique
Appendicite aiguë de l’enfant : chirurgie ou antibiotiques ?
Mise au point
Le suivi des patients immunodéprimés en soins primaires
Cas clinique
Le papillome intracanalaire
Etude et pratique
Mesure de la PA, la position du patient est importante