« De 2007 à 2014, 14 322 grossesses exposées à l’acide valproïque ont été dénombrées. » Fin août, une étude ANSM-CNAMTS a chiffré l’ampleur des prescriptions de valproate chez les femmes enceintes au cours des dernières années. Au-delà du chiffre brut, ce travail a aussi analysé le contexte des prescriptions. Concernant les indications, en 2007, 57 % relevaient de l’épilepsie contre 43 % de troubles bipolaires (contre respectivement 49 et 51 % en 2014). Du côté des prescripteurs, la majorité (67 %) des prescriptions dans l’épilepsie émanent d’un généraliste selon l’ANSM (38,1 % dans les troubles biplaires).
Des résultats qui pour certains neurologues, comme le Pr Dupont, interrogent la filière de soin. « Même au-delà du problème du valproate, tout patient épileptique devrait être vu par un neurologue au moment du diagnostic puis de façon régulière pour réévaluer le traitement. » Or cela ne semble manifestement pas le cas…
La filière de soins en question ?
Par
Publié le 16/09/2016
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
L’Académie de médecine s’alarme du désengagement des États-Unis en santé
Un patient opéré avant le week-end a un moins bon pronostic
Maladie rénale chronique : des pistes concrètes pour améliorer le dépistage
Covid : les risques de complications sont présents jusqu’à trente mois après hospitalisation