L’exposition intra-utérine au valproate est associée à une augmentation du risque de troubles cognitifs à trois ans. C’est la conclusion d’une étude parue dans le New England Journal of Medicine.
En moyenne, les enfant traités par le valproate ont un Quotient Intellectuel inférieur de neuf points par rapport à ceux traités par la lamotrigine. Il est réduit de sept points comparativement aux enfants traités par la phénytoïne et de six points par rapport à ceux traités par carbamazépine.
Pour parvenir à ces résultats, les chercheurs ont inclus l’ensemble des femmes enceintes sous anti-épileptiques dans une cohorte prospective aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. L’analyse a porté sur 309 enfants âgés de trois ans. Les auteurs en déduisent que le valproate ne doit pas être le traitement de première intention chez les femmes en âge de procréer.
Le valproate joue sur les fonctions cognitives
Publié le 24/04/2009
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés

- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Généraliste: 2487
Un patient opéré avant le week-end a un moins bon pronostic
Maladie rénale chronique : des pistes concrètes pour améliorer le dépistage
Covid : les risques de complications sont présents jusqu’à trente mois après hospitalisation
Manger du poisson ralentit la progression de la sclérose en plaques