Si moins de 10 % des cancers du sein sont découverts d’emblée à un stade localement avancé ou métastatique, 30 à 50 % des femmes diagnostiquées à un stade précoce développeront ensuite des métastases. Pour ces patientes, le laboratoire Pfizer commercialise Ibrance®, (palbociclib) premier inhibiteur des CDK4/6 disponible et remboursé en ville. Indiqué dans le cancer du sein localement avancé ou métastatique RH+/HER2-, ce médicament a démontré son efficacité sur la survie sans progression en première intention, chez les femmes ménopausées, en association avec le létrozole (étude Paloma-2) et en association avec le fulvestrant, chez les patientes en rechute après traitement hormonal (Paloma-3). Côté tolérance, les principaux effets secondaires sont des neutropénies rapportées chez 65 % des patientes. Pour accompagner les malades au quotidien, Pfizer soutient aussi plusieurs initiatives : éducation thérapeutique, consultations infirmières, diffusion d’informations, etc. Selon l’enquête Réalités, une patiente sur quatre considère qu’elle n’est pas assez informée.
Pfizer s’engage auprès des patientes atteintes d'un cancer du sein métastatique
Publié le 01/03/2019
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Santé sexuelle à l’ère du numérique : des opportunités à saisir
Covid long : la physiopathologie est polymorphique chez les patients non hospitalisés
Grippes zoonotiques : le HCSP recommande une stratégie « maximaliste »
La perturbation stromale, nouveau biomarqueur des cancers du sein agressifs