Le poète A. Dorchain a découvert le sonnet suivant qu’il a trouvé en tête d’une édition d’une édition d’Ambroise Paré ayant pour titre « Les Œuvres d’Ambroise Paré, de Laval, conseiller et premier chirurgien d’Henri II, de François II, de Charles IX et d’Henri III, nouvelle édition corrigée et augmentée… À Paris, de l’imprimerie de Nicolas Buon, libraire, 1555 » (in-folio).
Tout cela que peut faire en quarante ans d’espace
Le labeur, l’artifice et le docte savoir,
Tout cela que la main, l’usage et le devoir,
La raison et l’esprit commandent que l’on fasse,
Tu peux le voir, lecteur, compris en peu de place,
En ce livre qu’on doit pour divin recevoir,
Car c’est imiter Dieu que guérir et pouvoir
Soulager les malheurs de notre humaine race.
Si jadis Apollon, pour aider aux mortels,
Reçut en divers lieux et temples et autels,
Notre France devrait (si la maligne Envie
Ne lui cillait les yeux) célébrer ton bonheur :
Poète et voisin, j’aurais ma part en ton honneur,
D’autant que ton Laval est près de ma patrie.
« Heureux temps, ajoute M. Deschamps, notre collaborateur à qui le poète Dorchain a envoyé ce sonnet, où les chirurgiens se faisaient recommander par les poètes ! »
(« La Gazette hebdomadaire de médecine et de chirurgie » reprenant un article du « Temps », 1902)
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