Le Quotidien s’est rendu à l’hôpital Sainte-Anne où le GHU Paris Psychiatrie & Neurosciences et le laboratoire de psychologie du développement et de l’éducation de l'enfant (LaPsyDÉ) ont installé un simulateur d’imagerie à résonance magnétique (IRM).
Construit à partir des éléments d’un vrai appareil d’IRM, le dispositif le reproduit en tout point, à l’exception des aimants. En compagnie de professionnels de santé ou de chercheurs, l’objectif est ainsi d’entraîner les enfants à la réalisation d’une imagerie pouvant générer anxiété et agitation (espace confiné, immobilité prolongée, sons forts et stridents, etc.).
Nous avons rencontré Arnaud Cachia, professeur de neurosciences et directeur adjoint du LaPsyDÉ, et la Dr Catherine Doyen, cheffe du service de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, pour rendre compte des enjeux d’un tel projet en clinique et en recherche.
La vaccination anti-HPV au collège est bien acceptée mais l’information doit être renforcée
VIH : les statines recommandées en prévention primaire de l’athérosclérose aux États-Unis
L’ovéporexton, une nouvelle molécule efficace dans la narcolepsie de type 1
Handicap sévère et adolescence : une délicate transition à anticiper