Un rapport parlementaire présenté début janvier par les députés Corinne Erhel (PS) et Laure de la Raudière (LR) à la commission des affaires économiques recommande un remboursement partiel des objets connectés participant à la politique de prévention, et le développement d'une stratégie e-santé de prévention à destination des populations fragiles ou exposées à des risques sanitaires.
Le texte intitulé « L'internet des objets : le numérique à l'ère de la prédiction » précise le potentiel économique, l'usage et les pratiques liées aux objets connectés. Les deux élues considèrent que « les politiques de santé publique et de protection sociale vont se reconfigurer autour des données que les individus mesureront et mettront à la disposition du secteur de la santé pour améliorer la maîtrise de leur état de santé, la propagation de maladies ou encourager la lutte contre les comportements à risques ». Selon le rapport, les objets connectés permettront de « mieux responsabiliser les individus » et de les « inciter à s'orienter vers des comportements plus vertueux » en matière de pratiques sportives, du sommeil ou d'alimentation.
Évaluation de compétences des médecins retraités, le débat s’enflamme : « Je voudrais bien connaître les résultats de ceux qui exercent »
Fin de vie : les doyens de médecine s’opposent à une formation obligatoire à l’aide à mourir
La justice ordonne la prise en charge des soins chirurgicaux d’une transition de genre
Fin de vie : Macron évoque un référendum en cas d’enlisement des débats parlementaires