Londres, été 2017, championnat du monde d'athlétisme : c'est le lancer du poids pour les femmes. Une image télé fait penser que les hommes concourent en même temps à un autre endroit du stade. Non, c’est une femme chinoise au corps masculin de la tête aux pieds.
Japon : toujours à la télé, on voit des hommes d'environ 25 ans, 1,90 m et plus 280 kilos. Pour nous, européens, et médecins, ce sont des candidats à la chirurgie bariatrique. Non : dans ce pays, ce sont des dieux vivants, les sumo, des lutteurs poids-lourds.
Dans ces deux exemples :
- de tels corps sont impossibles sans dopage ;
- derrière ces corps, il y a des criminels ;
- le dopage a plusieurs années d'avance sur les contrôles ;
- pas un mot des journalistes commentateurs pour évoquer des entraînements qui ne sont pas à l'eau claire (omerta).
À bon entendeur salut !
Évaluation de compétences des médecins retraités, le débat s’enflamme : « Je voudrais bien connaître les résultats de ceux qui exercent »
Fin de vie : les doyens de médecine s’opposent à une formation obligatoire à l’aide à mourir
La justice ordonne la prise en charge des soins chirurgicaux d’une transition de genre
Fin de vie : Macron évoque un référendum en cas d’enlisement des débats parlementaires