Si un vaccin contre le coronavirus était disponible, les trois quarts des Français se feraient vacciner, mais un quart refuserait le vaccin, met en lumière l'enquête Coconel (Coronavirus et confinement : enquête longitudinale), conduite par des chercheurs de l’unité mixte de recherche Vitrome, du centre d’investigation clinique Cochin-Pasteur, de l’École des hautes études en santé publique et de l’observatoire régional de la santé Provence-Alpes-Côte d’Azur. Ces résultats (recueillis par internet auprès d'un échantillon représentatif de 1000 à 2000 personnes) sont « remarquablement stables » depuis fin mars, tout comme les motifs de refus, le premier étant la dangerosité prétendue d'un vaccin élaboré dans l'urgence (avancé par 17 % des enquêtés), observent les experts. Quelque 7 % des enquêtés se justifient par leur opposition à la vaccination, et 2 % estiment que le vaccin est inutile, le Covid-19 leur paraissant peu dangereux.
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