Pour le professeur Bernard Devauchelle, auteur en 2005 de la première greffe de visage, « nous faisons face aujourd’hui à un problème fondamental, que l’on retrouve d’ailleurs dans la prise en charge des blessés de la Première Guerre : la confrontation entre la technologie et le biologique ». Selon lui, l’avenir de la discipline s’inscrit dans cette capacité nouvelle, grâce aux cellules souches, « à faire sortir l’organe du vivant et continuer à le faire vivre ex vivo pour pouvoir secondairement le réimplanter au patient qui en a besoin. C’est sans doute la voie qui nous permettra de nous affranchir de tout ce qui constitue le poids de la transplantation aujourd’hui : le problème de la tolérance. Nous passerions alors d’une chirurgie qui fut longtemps une chirurgie d’amputation puis de reconstruction à une chirurgie régénératrice ».
La chirurgie reconstructrice du futur?
Publié le 23/10/2014
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 9359
Yannick Neuder lance un plan de lutte contre la désinformation en santé
Dès 60 ans, la perte de l’odorat est associée à une hausse de la mortalité
Troubles du neurodéveloppement : les outils diagnostiques à intégrer en pratique
Santé mentale des jeunes : du mieux pour le repérage mais de nouveaux facteurs de risque