Le communiqué de l’AFSSAPS était tombé avant Noël : « Les investigations menées par l’AFSSAPS auprès des établissements pharmaceutiques Genopharm et Alkopharm ont relevé des dysfonctionnements graves, remettant en cause la capacité de ces sociétés affiliées à assurer leurs fonctions d’exploitation, d’importation et de fabrication ». L’agence avait décidé de suspendre leurs activités, sauf pour les spécialités pour lesquelles il n’existe pas d’alternative thérapeutique. Face à cette situation, Valéry Monin, PDG de Genopharm a décidé la dissolution de l’entreprise. Mais Genopharm, au centre d’un contentieux avec le laboratoire Riemser sur l’anticancéreux Thiotepa, contre-attaque. Le laboratoire a déposé un référé-suspension ainsi qu’un recours devant le tribunal administratif de Melun (Seine-et-Marne). Ce tribunal devra dire si ce référé est suspensif de l’application de la peine infligée par l’AFSSAPS. Verdict aujourd’hui.
Suspension de Genopharm
Le PDG du laboratoire contre-attaque
Publié le 11/01/2012
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9063
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