Le secteur de la pharmacie continue à manifester son opposition à la substitution par les pharmaciens des médicaments biosimilaires, rendue possible par le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), adopté par le Parlement (en attente de décision du Conseil constitutionnel).
Le G5 Santé, qui réunit les principaux laboratoires pharmaceutiques français, « déplore vivement que, malgré le soutien des parlementaires, aucune amélioration n’ait été apportée au texte, qui demeure en contradiction avec les décisions du contrat de filière santé signé en juillet ».
Ce contrat de filière prévoyait la réunion d’un groupe de travail sur la substitution des biosimilaires « qui n’a toujours pas vu le jour ». Pour l’association, l’article du PLFSS en cause « est emblématique d’une politique qui impose des modalités de fonctionnement ni efficaces, ni à même de garantir la sécurité des malades ».
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