Appelé à approuver les comptes de l’Agence européenne du médicament (EMA), le Parlement européen a refusé à une large majorité de lui donner son quitus en adoptant mardi dernier un texte qui lui donne six mois pour modifier plusieurs points sensibles de son organisation interne, et notamment son mode de gestion des conflits d’intérêts. Le Parlement juge notamment « inacceptable » qu’il n’y ait « aucune garantie que l’évaluation de médicaments à usage humain soit réalisée par des experts indépendants ».
Les eurodéputés ont également critiqué le recrutement de l’ancien directeur exécutif de l’Agence au sein d’un organisme qui conseille les entreprises pharmaceutiques, notamment pour le lancement de nouveaux médicaments. Ce recrutement « jette un doute sur l’indépendance réelle de l’Agence », affirme la résolution du Parlement.
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