Selon l'exposé des motifs de l'article 44 sur la modernisation de la médecine du travail, l'accent est mis sur les postes à risques pour la santé et la sécurité du salarié (et celle des tiers évoluant dans l'environnement immédiat de travail).
La visite médicale d'aptitude systématique à l'embauche serait supprimée pour les autres salariés et remplacée par une visite d'information et de prévention. Cette visite de prévention serait réalisée par l'équipe pluridisciplinaire (coordonnée et sous l'autorité du médecin du travail).
La périodicité des visites en cours de carrière (aujourd'hui une fois tous les deux ans) serait revue par décret. Seuls les salariés à risque auraient un suivi médical renforcé. Le suivi des salariés en CDD et en intérim, actuellement inexistant, serait renforcé.
Évaluation de compétences des médecins retraités, le débat s’enflamme : « Je voudrais bien connaître les résultats de ceux qui exercent »
Fin de vie : les doyens de médecine s’opposent à une formation obligatoire à l’aide à mourir
La justice ordonne la prise en charge des soins chirurgicaux d’une transition de genre
Fin de vie : Macron évoque un référendum en cas d’enlisement des débats parlementaires