Interrogé sur la question sensible de la recertification périodique, le patron des spécialistes confédérés n'a pas éludé.
« Je suis pour mais ne faisons pas peur à la profession. Se former est un facteur de transparence, de qualité et de sécurité, donc cela ne me choque pas de mettre en place la recertification de façon obligatoire. Les spécialités à risque ont aujourd'hui une accréditation ; dans le cadre de cette démarche, l'assurance-maladie paie une part de la responsabilité civile professionnelle. Je pense que cela pourrait être la même chose pour les autres spécialités car cette accréditation a montré qu'elle incitait à la qualité. »
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