Le centre hospitalier du Val d’Ariège (CHIVA) a porté plainte contre les auteurs d’une fausse alerte ayant mobilisé une équipe du SAMU. L’établissement demande le remboursement des frais engagés et des dommages et intérêts, selon « la Dépêche », qui relate cette affaire dans son édition en ligne.
Lundi 15 janvier, le SAMU reçoit un appel lui signalant qu’une jeune femme de 23 ans est victime d’un arrêt cardiaque. Une équipe est dépêchée sur place alors que d’autres secours sont déjà mobilisés à l’autre bout du département pour un accident grave. En arrivant sur les lieux, le SMUR découvre qu’il s’agit d’une fausse alerte. Un groupe de personnes les accueillent hilares… Le CHIVA déplore un comportement « inadmissible », qui aurait pu avoir de graves répercussions, écrit « la Dépêche ».
Fin de vie : Catherine Vautrin promet d’encadrer strictement l’aide à mourir, le gouvernement reste divisé
Enfants de la guerre et psychotrauma : carnets de bord de spécialistes français
À Gaza, le chaos laisse peu de place aux soins psychiques
Fin de vie : l’Académie de médecine réitère son opposition à l’euthanasie