- Jarvik : le pionnier, a implanté le premier cœur artificiel dès 1982, avec un dispositif extra-corporel. Mais tous les patients sont morts d’infection ou d’embolie dans les semaines qui ont suivi. Jarvik 2000, un « inotrope mécanique » assurerait un « retour à la vie normale », selon la société.
- Magscrew : le projet de cœur artificiel lancé par ce consortium en 2001 a fait l’objet d’essais in vitro et in vivo en 2005, grâce à un financement du National Heart lung and blood Institute ; cette pompe souffre d’un faible volume d’éjection (« Pressures generated within the chambers of the MagScrew TAH : an in vitro study. », ASAIO J. 2008 Jan-Feb ;54(1):58-63).
- Abiocor 2 : la société Abiomed a effectué une dizaine d’implantations, avec une autorisation de la FDA limitée à un cadre humanitaire. L’un des patients aurait survécu près d’un an et demi.
- En Europe, l’Institut Helmholtz (Aix-la-Chapelle) mène des recherches sur un cœur artificiel MiniACcor/ReinHeart mais n’aurait pas encore passé les tests d’endurance.
Accès aux soins : la Défenseure des droits entend démonter les discriminations envers les trans
Le Dr Ugo Ricci, généticien criminologue, passionne l’Italie
À l’étranger, des médecins plutôt favorables à l’aide à mourir pour eux-mêmes
749 incidents de cybersécurité déclarés dans les établissements de santé en 2024, en hausse de 29 %