Au regard du risque zéro, le traitement ne se distingue pas du préservatif, dont l’efficacité dépend des conditions d’utilisation. L’efficacité du préservatif pour prévenir la transmission du VIH, quasi parfaite en théorie, apparaît soumise aux conditions de son utilisation. Des études menées sur des cohortes d’usagers montrent que même dans les groupes d’utilisateurs les plus rigoureux, qui utilisent le préservatif lors de toute pratique de pénétration, des transmissions sont observées. Dans la vie réelle, le préservatif systématiquement et correctement utilisé réduit le risque de transmission du VIH selon les études de 90 à 95 % par rapport à l’absence de protection. Les limites de la prévention par le préservatif sont connues : usage non systématique, mésusage, rupture. En raison de ces limites, « le message unique autour du préservatif est aujourd’hui insuffisant », explique le Pr Willy Rozenbaum, président du CNS.
Limites du préservatif
Publié le 29/04/2009
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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