Selon le Conseil national du sida, il devient possible d’envisager un traitement plus précoce, à un stade où le bénéfice thérapeutique n’est pas manifeste, pour le seul bénéfice préventif. Cette position est en accord avec celle du rapport Yéni de 2008, dans lequel les experts reconnaissent que si les arguments ne sont pas pour l’instant suffisants pour recommander l’instauration d’un traitement antirétroviral chez les patients asymptomatiques ayant plus de 500 CD4, « il paraît cependant acceptable d’entendre et d’examiner la demande d’un patient qui souhaiterait débuter un traitement alors que son nombre de lymphocytes CD4 est supérieur à 500/mm3, notamment dans une optique de diminution du risque de transmission sexuelle du VIH ».
Se traiter pour ne pas transmettre
Publié le 29/04/2009
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Le Quotidien du Mdecin
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
La perturbation stromale, nouveau biomarqueur des cancers du sein agressifs
La vaccination anti-HPV au collège est bien acceptée mais l’information doit être renforcée
VIH : les statines recommandées en prévention primaire de l’athérosclérose aux États-Unis
L’ovéporexton, une nouvelle molécule efficace dans la narcolepsie de type 1