L’un des défis que doit relever l’InVS est de répondre aux questions sanitaires même les plus complexes et d’évaluer l’impact des risques émergents et des risques négligés. C’est le cas des suicides liés au travail, qui suscitent aujourd’hui une profonde émotion mais dont la quantification précise est impossible. Dans le cadre du Plan national de prévention des suicides en préparation, le recours à des données existantes non spécifiques permet une première évaluation. C’est le cas aussi pour les risques émergents comme les nanomatériaux, qui imposent la mise en place d’un système de surveillance de novo chez les travailleurs.
Des données même quand elles n’existent pas
Publié le 02/05/2011
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 8953
Transition de genre : premières recos chez l’adulte, la HAS se remet au travail pour les mineurs
L’État s’engage à augmenter le budget de l’EFS pour une souveraineté de la filière plasma
L’exposition infantile au plomb est associée à des troubles de la mémoire
Arrêt des antidépresseurs : des symptômes mais peu fréquents