Début novembre, le Conseil d'État indiquait vouloir ouvrir aux esthéticiennes la pratique de l'épilation au laser ou à la lumière pulsée, jusque-là réservée aux médecins.
Le Conseil d'État souhaite néanmoins que les pratiques soient encadrées pour garantir la sécurité des personnes qui souhaitent se faire épiler, avec notamment un examen médical avant tout acte et une surveillance médicale.
Le Syndicat national des dermatologues-vénéréologues (SNDV) prend acte de cette décision et se félicite « de la reconnaissance par le Conseil d’État (...) de la nécessité d’un suivi médical en cas d’utilisation des lampes flash et des lasers dépilatoires ».
Transition de genre : premières recos chez l’adulte, la HAS se remet au travail pour les mineurs
L’État s’engage à augmenter le budget de l’EFS pour une souveraineté de la filière plasma
L’exposition infantile au plomb est associée à des troubles de la mémoire
Arrêt des antidépresseurs : des symptômes mais peu fréquents