Générale de Santé accompagne les futures mamans dès le début de la grossesse

Publié le 11/11/2014

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Répondre aux besoins et envies des femmes durant toutes les étapes de la grossesse mais aussi, après l’accouchement. C’est l’objectif du programme my Néa.

Dès les premiers jours de grossesse, les futures mamans se posent toutes sortes de questions concernant le développement de l’embryon, leur suivi médical, les éventuelles répercussions de l’arrivée d’un enfant dans leur vie de couple... Ainsi, alors même qu’il est souvent trop tôt pour être suivies à l’hôpital, leurs interrogations sont pléthores. C’est, justement, pour y répondre que Générale de Santé a créé my Néa : un programme de soins et de services bâti autour d’une relation de proximité et d’accompagnement personnalisé, dès le début de la grossesse.

À la maternité d’Antony

Pour tester ce programme, le groupe a choisi comme établissement pilote la maternité de l’hôpital privé d’Antony (92). Depuis quelques mois, les femmes enceintes ayant opté pour cet établissement peuvent procéder à une pré-inscription et une inscription en ligne. Elles peuvent également recevoir des newsletters mensuelles leur délivrant, mois après mois, des informations médicales et administratives fiables. La visite de la maternité est, par ailleurs, prévue avant l’inscription avec une sage-femme alors qu’elle ne se fait, en général, qu’aux alentours du 6e mois.

Côté services, my Néa offre aux futures mamans, dès le début de la grossesse, des ateliers et conférences gratuits : cours de gymnastique prénatale, présentation de l’ostéopathie et de la sophrologie, soins du nouveau-né, diététique... Ces rencontres viennent compléter les cours de préparation par les sages-femmes financés par la sécurité sociale à partir du 6e mois de grossesse.

Un soutien médical et relationnel individualisé

« Dès leur inscription, outre le suivi du gynécologue-obstétricien, les femmes enceintes peuvent également rencontrer une sage-femme ainsi que la psychologue de la maternité. L’objectif étant de repérer, en tout début de grossesse, leurs besoins, envies et inquiétudes. Nous les orientons également vers des sages-femmes libérales afin qu’elles bénéficient d’un suivi complémentaire pendant la grossesse et après leur accouchement. De même, nous sollicitions beaucoup les pères pour qu’ils puissent s’investir et trouver leur place avant et après la naissance de l’enfant », souligne Mathilde Le Noac’h, sage-femme à l’hôpital privé d’Antony.

Le programme my Néa porte une attention particulière au projet de naissance des parents, mais aussi, à la qualité du séjour (haute technicité et sécurité des soins, repas dédiés aux mamans conçus par Elior, chambres confortables...). « Pour cela, nous avons interrogé les mamans sur leurs attentes* et réfléchi aux moyens de les suivre de façon personnalisée avec les équipes médicales », note Filippo Monteleone, directeur général délégué de Générale de Santé.

Le groupe mise sur la digitalisation de la relation avec les jeunes mamans : outre le site Internet et les newsletters, une application smartphone my Néa devrait être créée prochainement. Quatre mois après sa mise en place, l’offre my Néa a notamment engendré 1 100 inscriptions en ligne, la newsletter a été envoyée à 800 mamans par mois et 790 ateliers et conférences ont été offerts à 300 mamans. D’ici juin 2015, my Néa devrait être déployé dans les 18 maternités de Générale de Santé .