L’enthousiasme délirant qui s’est emparé des médias célébrant la libération de Florence C. constitue-t-il un phénomène pathologique ? Le ministre des Affaires étrangères accourt à l’aéroport pour l’accueillir, le président de la République bouscule son emploi du temps pour la recevoir (aux dépens du temps consacré à recevoir les représentants d’un mouvement qui a mis un million de personnes dans la rue).
Mieux (ou pire ?) « le Monde », ce grand journal, consacre sa une et deux pleines pages intérieures à ce sujet…
Pourtant, sauf erreur, Florence C. n’a pas été libérée parce qu’innocentée mais seulement pour vice de procédure… Notre propos n’est pas, loin de là, de l’accuser, mais à vrai dire, compagne d’un brigand, on ne peut s’empêcher de penser qu’elle a peut-être eu vent de ses activités délictueuses…
Au moins peut-on s’étonner de l’unanimisme du pays à la recevoir comme une héroïne nationale, le président du pays se comportant en l’occurrence comme son prédécesseur dont il a pourtant dénoncé les travers…
Peut-être l’occasion est-elle trop belle pour la laisser passer d’éprouver un peu de joie dans notre morosité nationale ?
Évidemment, dans ce cas, priorité à l’irrationnel…
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