La loi de santé consacre son titre I à la prévention, dirigée prioritairement vers la jeunesse et les personnes vulnérables.
Elle sanctuarise la mise en place d’un parcours éducatif en santé, de la maternelle au lycée, prévoit un médecin traitant pour les moins de 16 ans, inscrit le principe d’une meilleure information sur la qualité nutritionnelle des produits alimentaires, donne accès pour les mineures à la contraception d’urgence auprès de l’infirmière scolaire et cherche à lutter contre le binge drinking. À l’attention des plus précaires, la loi de santé étend la politique de réduction des risques au milieu carcéral, généralise les tests rapides d’orientation diagnostique et les autotests, et détermine le cadre nécessaire à l’expérimentation de salles de consommation à moindre risque. L’un des rares aspects de la loi de santé qui ne suscite pas le courroux des médecins.
Le taux de micro/nanoplastiques dans l’athérome carotidien est associé à la sévérité des symptômes
Dans la cholécystite, la chirurgie reste préférable chez les sujets âgés
Escmid 2025: de nouvelles options dans l’arsenal contre la gonorrhée et le Staphylococcus aureus
Yannick Neuder lance un plan de lutte contre la désinformation en santé