Les maladies psychiques pourront être reconnues comme d’origine professionnelle aux mêmes conditions que les autres affections.
La prise en compte de ces pathologies se fera via le système complémentaire de reconnaissance des maladies professionnelles.
Décrivant le burn out comme « un mal moderne du travail auquel des centaines de milliers de compatriotes sont exposés », Benoît Hamon, à l’origine d’un amendement, a espéré que ce « premier pas » serait suivi d’autres lors d’une lecture ultérieure de ce texte ou du prochain projet de budget de la Sécurité sociale. « La meilleure solution serait de l’inscrire au tableau des maladies professionnelles, ce qui ne fait pas consensus entre organisations syndicales et patronales », a déploré l’ancien ministre PS.
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