La responsabilité d'interpréter et d'appliquer la loi a été laissée aux laboratoires. Certains prennent sur eux de ne pas « taguer » ce pictogramme des produits dénués, selon eux de risque, même si le mot-clé tératogène apparaît dans leur résumé caractéristique des produits (RCP). D'autres appliquent strictement les décrets même en absence de signal de toxicité en clinique humaine pour la femme enceinte. Du coup, c'est le grand n'importe quoi. Par exemple, GSK a pris le parti de ne pas « taguer » quand Astra a tagué tous ses produits. Le Seretide est marqué d'un pictogramme alors que le Symbicort ne l'est pas !
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