Agacé par la présentation trop « spectaculaire », par la presse, de certains extraits du rapport sur l’évolution des dépenses d’arrêts de travail (+47 % de 2000 à 2011), Michel Régereau, président CFDT de l’Union nationale des caisses d’assurance-maladie (UNCAM), a tenu à relativiser ces chiffres, réfutant toute dérive. « Il se trouve que cette augmentation [des montants consacrés aux IJ] est du même ordre de grandeur que l’évolution, sur la même période, de la masse salariale et du smic horaire, deux données qui influent mécaniquement et fortement sur le montant des indemnités ». Et de préciser que, si on analyse non pas les dépenses mais le nombre de journées d’arrêt indemnisées, « celui-ci a diminué de 3 % entre 2002 et 2012 ». Au passage, Michel Régereau salue l’action « pédagogique vis-à-vis des prescripteurs » que conduit la CNAM aussi bien sur les arrêts de travail que pour les autres prescriptions.
Le président de la CNAM ne voit aucune dérive
Publié le 29/04/2013
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9238
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