Maintenant que les conséquences néfastes des pesticides pour la santé sont officiellement reconnues par la recherche française, Générations Futures demande « une action publique forte et rapide » et notamment « de légiférer pour qu’à terme les collectivités publiques n’utilisent plus ces produits et que ceux-ci ne soient plus vendus aux utilisateurs non professionnels. » Est cité l’exemple de la jardinerie Botanic qui a retiré complètement les pesticides de synthèse de ses magasins depuis 4 ans. Les trois ministres de la Santé, de l’Agriculture et de l’Écologie ont indiqué vendredi dernier avoir saisi l’ANSES (agence de sécurité sanitaire) pour évaluer « l’impact de ces nouvelles données sur les autorisations nationales existantes ». Les données vont également être transmises au niveau européen, en vue de la réévaluation des substances actives autorisées au niveau communautaire.
Les associations veulent une action forte
Publié le 17/06/2013
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9251
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