D’ici fin 2013 plus de 4 000 personnes vont rejoindre ce site de recherche qui va regrouper différentes compétences académique, scientifiques, technologiques, médicales, cliniques, pharmaceutiques, publiques et privées avec pour même ambition la lutte contre le cancer.
Aménagé par la Communauté d’Agglomération du Grand Toulouse, en partenariat ave le Conseil Général de Haute Garonne, le Conseil Régional de Midi Pyrénées, l’État et l’Europe, le nouveau site de 200 hectares aux portes de Toulouse dédié à la lutte contre le cancer ambitionne de devenir le leader européen dans son domaine. L’oncopole associera : un pôle de recherche privée regroupant l’institut Pierre Fabre et la direction de la recherche Sanofi-aventis - d’autres groupes pharmaceutiques internationaux ont également exprimé leur intérêt pour ce projet ; un pôle de recherche publique mobilisant 300 membres du CNRS, de l’INSERM et de l’Université Toulouse III, Paul l Sabatier ; un Institut Universitaire du Cancer (IUC) crée en partenariat avec l’Institut Claudius Regaud, le CHU de Toulouse, les cliniques privées, les centres hospitaliers généraux, le réseau Oncomip, l’Établissement français du sang et l’Université Paul Sabatier ; un pôle d’Innovation et de Valorisation de la recherche autour de l’Institut des Technologies Avancées des Sciences du Vivant (ITAV) et d’une pépinière d’entreprises dans les domaines suivis par l’ITAV et le Cancéropole qui viendra renforcer le pôle de recherche ; un espace à dimension plus humaine et sociale dédiée à l’offre de services (hôtel adapté, banques, organisme de sécurité sociale, association de lutte contre le cancer, espaces de remise en forme pour les patients ...)
L’oncopole qui doit sa concrétisation à des financements publics et privés dont le montant avoisine le milliard d’euros (dont moins de 10 % de contribution publique) sera inauguré début 2014 mais l’Institut Universitaire du Cancer sera prêt à recevoir ses premiers patients fin 2013
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