Installée à Gignac (Hérault), la société Contralco, leader mondial de l’éthylotest à usage unique en appelle au Premier ministre pour sauver ses emplois. Après l’annonce du ministre de l’Intérieur Manuel Valls de repousser sine die l’obligation pour les automobilistes de disposer d’un éthylotest jetable dans leur véhicule, la direction de Contralco a annoncé fin janvier une baisse drastique de ses effectifs de 310 à 84 personnes, après avoir déjà subi une vague d’annulation de commandes de plus de 4 millions d’unités.
« Comme Monsieur Valls ne veut pas entendre, nous en appelons à son patron », Jean-Marc Ayrault pour rendre ses arbitrages à l’issue de la prochaine réunion du Comité interministériel de la sécurité routière qui doit se tenir en juin. La société Contralco a programmé ce jeudi une table ronde avec des élus héraultais - députés, sénateurs, présidents de collectivités territoriales - avant d’adresser une lettre commune au Premier ministre.
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