La surveillance des professionnels de santé fait l’objet de recommandations particulières, compte tenu de leur risque d’exposition et du risque de transmission aux malades dont ils ont la charge. Elle a pour objectif la protection des patients et des autres professionnels de santé) mais aussi le bénéfice individuel du soignant. Ses modalités sont les suivantes :
- À l’embauche : un examen clinique de référence complété systématiquement d’une IDR datant de moins de trois mois pour tous et d’une radiographie pulmonaire pour la fonction publique hospitalière.
- En cours d’activité, la surveillance diffère en fonction du niveau de risques : si le risque est élevé (secteur géographique accueillant au moins 5 tuberculeux bacillifères par an), la surveillance de la radiographie pulmonaire et de l’IDR si< 10 mm, est effectuée tous les 18 mois à 2 ans ; pour un risque intermédiaire (secteur géographique accueillant de 2 à 4 tuberculeux bacillifères par an), le rythme de surveillance est évalué par médecin du travail ; si le risque est faible (secteur géographique accueillant au plus 1 tuberculeux par an chaque année), une enquête autour d’un cas est réalisée comme en population générale.
Endométriose : le ministère de la Santé annonce une extension de l’Endotest et un projet pilote pour la prévention
Pr Ibrahim Yakoub-Agha, hématologue : « Beaucoup d’indices nous intiment de produire des CAR-T cells académiques »
Le traitement des IST virales et parasitaires évolue
La FDA approuve Blujepa, le nouvel antibiotique de GSK dans la cystite