La ministre de l’Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, a demandé une mission sur les actions pouvant être conduites pour « protéger les étudiants des dérives » liées au bizutage durant les week-ends d’intégration. Les conclusions de ce travail sont attendues d’ici deux mois, a-t-elle annoncé. Chargée de ce travail, la rectrice de Limoges, Martine Daoust (professeur de pharmacie), travaillera avec « les acteurs de la communauté universitaire, du secteur de la santé, les industriels du tourisme et du loisir ». La ministre a également demandé aux recteurs, « en lien avec les préfets, de recenser l’ensemble des week-ends d’intégration prévus dans les semaines à venir et de vérifier que les conditions sanitaires et de sécurité soient réunies ». « Dans le doute sur les conditions de sécurité », les week-ends d’intégration seront interdits par précaution. Une étudiante de 3e année de l’Institut commercial de Nancy (ICN), a déposé plainte, il y a quelques jours, pour un viol qui se serait déroulé lors d’un « week-end d’intégration » auquel participaient 507 élèves dans les Alpes-Maritimes.
BIZUTAGE
Un rapport dans deux mois
Publié le 05/10/2010
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Source : Le Quotidien du Médecin: 8829
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