Alors que les adhérents de la FEHAP réfléchissaient à l’avenir du secteur privé non lucratif à l’intérieur de la Cité des congrès de Nantes, des centaines de salariés manifestaient contre la « casse » de leur convention collective. « En 2003, les salariés ont déjà subi une refonte de la convention, explique Élisabeth Douaisi, de la fédération nationale de Sud Santé-sociaux. Alors que nous étions jusque-là au niveau de la rémunération de la fonction publique hospitalière, une infirmière avec 20 ans d’ancienneté gagnait ensuite 350 euros de moins par mois. » Le nouveau projet de révision veut aller vers « l’individualisation du salaire », selon la syndicaliste. En cause : le problème de financement des activités des établissements. « À la clinique Jules-Verne par exemple, qui dépend d’une autre convention mais qui sera attaquée aussi, la T2A [tarification à l’activité] ne couvre pas l’activité digestive », précise-t-elle.
Une convention collective de la discorde
Publié le 19/10/2010
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
O. Q.
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 8839
Dans la cholécystite, la chirurgie reste préférable chez les sujets âgés
Escmid 2025: de nouvelles options dans l’arsenal contre la gonorrhée et le Staphylococcus aureus
Yannick Neuder lance un plan de lutte contre la désinformation en santé
Dès 60 ans, la perte de l’odorat est associée à une hausse de la mortalité