85 % des internes en médecine générale d'Auvergne préfèrent s'installer en zone rurale selon un sondage de leur syndicat local (Sarha). Avec l'avis de 110 internes sur 250 de la faculté de médecine de Clermont, cette étude « met en évidence l'attractivité des zones rurales et semi-rurales dans notre belle région », résume le syndicat.
Mieux, 60 % des futurs généralistes envisagent d'exercer dans des zones dites « fragiles ». Anaïs Sahy, présidente régionale du Sarha, avance une explication : « On découvre une médecine qui n'a rien à voir avec ce qu'on apprend à l'hôpital ».
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