Entre coercition et laisser-faire, Agnès Buzyn taille sa route, n’hésitant pas à emprunter des chemins de traverse. La ministre de la Santé confirme cette troisième voie dans l’entretien qu’elle a accordé au Quotidien en ce début d’année. Sur la vaccination, elle met en place une obligation sans sanction davantage destinée à frapper les esprits qu’à nourrir du contentieux. Sur la permanence de soins, elle n’hésite pas à secouer le cocotier, mais préfère placer les médecins devant leurs responsabilités, plutôt que d’en passer par le conventionnement sélectif. Ce pragmatisme tout macronien vaut aussi pour les affaires hospitalières : d’accord pour revenir sur la T2A, mais sans bouleverser les règles du jeu. Les six mois qui s’ouvrent d’ici à l’été permettront de voir si la méthode fonctionne.
La preuve par neuf
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Publié le 08/01/2018
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Source : Le Quotidien du médecin: 9629
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