- Le système d’information doit pouvoir partager des données sur un territoire, ce qui suppose un accès à distance et l’externalisation des données sur un site hébergeur
- L’accès multisite doit se faire sans double saisie. Le dossier médical reste unique avec des droits d’accès différents.
- La MSP doit être capable de produire des données pour sa propre évaluation et pour des travaux de recherche épidémiologique. Dans le cadre des NMR, les PS doivent en effet travailler sur certains critères de qualité.
En plus, il faut une fiche de synthèse par patient, paramétrable et auto alimentée qui sera visible par tous les PS, des systèmes d’alerte, un site d’information pour les membres de la MSP, une messagerie interne et une messagerie externe sécurisée, un agenda partagé accessible à distance avec gestion des emplois du temps et des locaux, un annuaire des correspondants, une comptabilité qui libère du temps administratif et la télétransmission par le secrétariat. Le tout pour un budget de 80-90 euros/mois et par médecin (sans compter les connexions) et un budget inférieur pour les infirmières.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature