Le couvre-feu contre un minuscule virus est une nouveauté incroyable dans l'histoire de l'humanité : comme si on pouvait le voir durant le jour, ce malin petit Covid-19 sous le soleil parisien, et qu'il vous laisserait alors tranquille le jour, (comme les moustiques qui ne piquent qu'à l'obscurité naissante) ; mais que le soir, à la tombée de la nuit, il foncerait vers vous, avec ses yeux infrarouges ! C'est une histoire à dormir debout, pour moi qui ai connu la guerre d'Algérie et ses dangers réels.
Tout ce « cinéma » et ces mises en scène, pour fasciner les foules déjà pas mal envoûtées par des discours monocordes à la TV ! Dans quel but ? Si ce n'est de « vendre » ? Dans notre société d'hyperconsommation, n'est-ce pas cela qu'espère la plus grosse industrie, la plus florissante : Big Pharma ? Le peuple a la frousse et ne pense plus : il achètera toute « poudre de Perlimpinpin… » qu'on lui déclarera « miraculeuse », comme « l'eau de Lourdes », car il a la foi en des croyances scientifiques. Ne souhaite-t-on pas aussi vous « arnaquer » pour que vous donniez au « bénitier » de l'État vos 135 € ?
Les Français se sont en masse, « convertis » : ce qui signifie littéralement « se retourner, changer de direction ». Leur religion a changé de nom, simplement ; leurs espoirs vont désormais vers une autre source d'illusions ; car les hommes, dans leur immense majorité, ont « besoin de croire », nous le savons. L'opération est juteuse pour ceux qui ont prôné la laïcité comme « bien suprême », avec ce qu'elle entraîne, comme nouvelles « guerres de religion », avec ces « prêtres laïcs » et leurs opposants : les « combattants » tuant tout autant que du temps des Croisades.
Or, il faut prendre conscience qu'on est arrivé au-delà de l'absurde ; car, comme on le sait tous : « plus c'est gros, plus ça passe » ! Tout le langage actuel est emprunté au discours guerrier des militaires qui partirent en guerre contre l'ennemi. Lequel n'avait comme défaut, que de « croire » autrement que ce que prescrivait ( dans l'Histoire de France, exactement comme maintenant ) l'Autorité en place, « l'Officielle » qui détendait le Pouvoir « absolu » ( comme actuellement, par les « ordonnances »), et qui faisait tout pour « tuer » les résistants, les opposants ; comme maintenant où l'on pénalise les êtres « libres ». Va-t-on bientôt les abattre en les prétendants « ennemis du bien commun » ?
Age médian de la mortalité par le Covid , 84 ans
Pourquoi la « masse » accepte tout cela ? Alors qu'on sait pertinemment qu'un « cas positif sans aucun symptôme » n'est pas un malade ? Qu'on sait tous que la majorité des morts le sont « avec » le Covid, mais décèdent pour une autre raison : pathologie souvent dite « de surcharge », type HTA, diabète ( sucre), obésité (goinfrerie), cancers divers dus au tabagisme, à la « malbouffe », et associations de ces « vices », etc. Et surtout que l'âge médian de la mortalité dite « par le Covid » est de 84 ans environ, au-delà de l'espérance de vie en France… On a privilégié les exploits sur temps courts, et négligé l'endurance, la constance et la persévérance dans les domaines physiques, indispensables pour « tenir dans la durée ».
Si on analyse bien, si on connaît ses classiques, si on a bien saisi que « la vie est une maladie mortelle qu'on attrape en naissant », on comprend que les gens se pensaient éternels et sont brusquement mis en face de leur finitude. Ils ont cru, en masse, à la « Sainte Église scientifique » venue sur Terre pour nous « sauver » de la mort, et nous donner « la vie éternelle » ; ce que les Transhumanistes imaginent possible. On a cru que la Médecine avait le pouvoir de vous régénérer à l'infini ; on a eu tort (...)
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Exergue : On sait tous que la majorité des morts le sont «avec» le Covid, mais décèdent pour une autre raison
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