Nous nous limiterons à la souffrance et au droit de mourir. Il en existe beaucoup d'autres. « Ce n’est pas parce qu’il y a de la souffrance que la vie n’a pas de sens, mais bien plutôt parce que la souffrance existe que la vie doit avoir d’autant plus de sens. Entre l’oubli de la souffrance à cause de nos rationalisations de la vie et, l’oubli de la vie à cause de nos désespoirs face à la souffrance, il y a le sens de la vie face à la souffrance » (9). « ...qu’à un certain moment, le médecin doit cesser d’être l’homme qui guérit et devenir celui qui aide à mourir » ; le mot aide étant entendu par Hans Jonas comme une ouverture à l'inéluctabilité de la mort et pas en un acte létal (10).
CHAPITRE 4 : LES REPÈRES PHILOSOPHIQUES
Publié le 25/04/2014
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Source : Le Généraliste: 2681
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