• La base de ce traitement repose sur une chaussure comportant un contrefort rigide (si subtalienne mobile), un cambrion (renfort de la cambrure par une lame d’acier incluse dans la semelle) et un léger talon pour limiter le valgus de l’arrière pied et réduire la tension des muscles extrinsèques postérieurs. En cas de persistance de la gêne, on associe une orthèse plantaire avec une légère cuvette stabilisatrice talonnière et un élément rétrocapital supinateur voire une orthèse rigide amovible de stabilisation subtalienne.
• A savoir : une orthèse plantaire seule n’a aucune indication chez le jeune enfant (l’adaptation physiologique du squelette à la bipédie s’effectue la nuit) ; une orthèse plantaire sans un bon chaussage ne stabilise pas l’arrière-pied ; des éléments d’orthèse volumineux ne se justifient pas sur des pieds stimulables.
Mise au point
Troubles psychiatriques : quand évoquer une maladie neurodégénérative ?
Étude et pratique
Complications de FA, l’insuffisance cardiaque plus fréquente que l’AVC
Cas clinique
L’ictus amnésique idiopathique
Recommandations
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