• Entre 1859 et 1874, Charles Harrison Blackley (1820-1900), atteint de rhume des foins (catarrhus aestivus), démontra que le pollen était en cause et non les odeurs de foin coupé
hay fever) en utilisant un cerf-volant comportant une surface adhésive de dimension fixe qu’il exposait dans les endroits à étudier (1). Le nombre de pollens qu’il recueillait était étroitement corrélé avec ses symptômes dont il évaluait l’intensité.
• Il montra aussi que ses symptômes disparaissaient quand il pleuvait et, au contraire, augmentaient par beau temps et vent. Il s’aperçut aussi que le rhume des foins était rare chez les fermiers pourtant très exposés aux pollens, en raison du développement d’une tolérance immunitaire.
• Le rôle des acariens domestiques est établi depuis longtemps dans la RA et l’asthme : l’exposition aux acariens fait apparaître les symptômes et leur éviction les diminue.
• Actuellement, un grand nombre de recos sont disponibles en langue anglaise et française (3-6). Elles dérivent toutes d’ARIA (Allergic Rhinitis and its Impact on Asthma).
Mise au point
Troubles psychiatriques : quand évoquer une maladie neurodégénérative ?
Étude et pratique
Complications de FA, l’insuffisance cardiaque plus fréquente que l’AVC
Cas clinique
L’ictus amnésique idiopathique
Recommandations
Antibiothérapies dans les infections pédiatriques courantes (2/2)