L’endométriose mérite bien ce qualificatif, car elle est à la fois tumorale (mais sans la gravité du cancer) donc extirpable, et, grâce à la cœlioscopie, sans cicatrices disgracieuses.
Mais elle est aussi hormono-sensible : elle disparaît avec la ménopause et est améliorée par la grossesse.
Elle régresse avec la suppression de l’activité ovarienne, tant que dure la carence oestrogénique induite et mieux encore l'aménorrhée.
Oublier cette dualité serait ne pas pratiquer une médecine de qualité.
En outre elle a une tendance marquée à la récidive, caractéristique qui doit en permanence guider le thérapeute.
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