CHRISTIAN JEAMBRUN, président du Syndicat des médecins libéraux (SML), le répète à qui veut l’entendre : « Nous voulons devenir un syndicat de services, il faut dépasser la politique du grappillage d’un euro par ci par là. . C’est ainsi que le SML lance ses 2e assises de la femme médecin libéral, après le succès rencontré l’année précédente. C’est ainsi également qu’il a lancé récemment sa structure « Pôle retraite active » pour aider ses adhérents qui souhaiteraient prendre leur retraite tout en conservant une certaine activité.
Pour cette nouvelle édition des assises de la femme médecin libéral, qui se tiendront à Paris, les 3 et 4 décembre prochains à la Maison de la Chimie, le Dr Laurence Morfoisse, coordinatrice de la manifestation, compte surfer sur les remontées de la maifestation précédente et des 30 assises régionales qui se sont déroulées un peu partout en France, de Lille à Marseille, et de Brest à Strasbourg. Des axes de propositions soutenus par le SML, s’étaient alors dégagés autour de thèmes comme les nouveaux modes de rémunération, la nouvelle organisation du travail ou la gestion de l’entreprise libérale. Autant de thèmes qui ne sont pas l’apanage de la femme médecin, mais qui sont abordés sous le prisme de la double casquette qu’elles doivent souvent assumer. Le Dr Fatma Bouvet de la Maisonneuve, psychiatre, résume assez bien ce paradoxe que les femmes actives tentent de gérer : « Être femme en famille, et homme au cabinet. » Cette 2e édition abordera de nouvelles thématiques, comme « femme médecin et stress », « l’entreprise libérale, guide pratique » ou « femme médecin et action en santé publique » (programme détaillé et inscription sur www.lesml.org).
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