Le pôle femmes du Syndicat des médecins libéraux (SML), interpellé par des étudiantes en médecine, dénonce le fonctionnement de l’internat qui désavantage les internes enceintes. Il demande en particulier la modification de l’article R 6152-20 qui dit que « tout interne qui effectue moins de 4 mois de stage sur 6 est invalidé quelle que soit la raison (y compris maternité et maladie) ». Le SML souligne que, dans l’affectation dans les différents stages, le bénéfice du classement initial, obtenu à la fin de la 6e année d’études, est perdu si un semestre n’est pas validé. « Le rang de classement en cas de maladie ou de congé maternité doit pouvoir être conservé, ce qui ne perturberait en aucun cas l’attribution des postes ni l’organisation des hôpitaux. Cette mesure permettrait d’accéder aux mêmes postes d’internes que si l’interne n’avait pas été absent en cas de maternité ou maladie », note le SML.
Femmes internes
Le SML dénonce une discrimination
Publié le 18/07/2011
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Source : Le Quotidien du Médecin: 8996
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