Cinéma/Des films pour les fêtes

Avatars et aventures

Publié le 15/12/2009
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Crédit photo : M. S. GORDON

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Crédit photo : ARLOT

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Crédit photo : DR

16 décembre

– Douze ans après « Titanic », James Cameron revient avec « Avatar », qui sort dans 780 salles, dont plus de 400 équipées pour le relief, ce qui est important pour les effets spéciaux 3D et la vision de la planète Pandora, peuplée d’êtres à la peau bleue, les Navi’s, et riche d’un minerai dont veulent s’emparer d’avides Terriens. Prouesses technologiques et fable écologique, sans oublier la romance, embarquement pour deux heures quarante de voyage.

– On part moins loin avec « le Dernier Vol », de Karim Dridi, une aventure romantique au Sahara, dans les années 1930, qui réunit Marion Cotillard et Guillaume Canet.

– La fine réalisatrice de « Brodeuses », Éléonore Faucher, adapte le livre autobiographique de Sylvie Testud, « Gamines ». Trois fillettes et leur mère (Amira Casar), abandonnées à la naissance de la petite dernière. Et Sylvie Testud dans son propre rôle, pour la partie contemporaine, quand, devenue célèbre, elle retrouve brutalement son père.

– Humbert Balsan, qui a produit entre autres des films de Youssef Chahine et de James Ivory, s’est suicidé à 51 ans en 2005. C’est sa figure qui inspire « le Père de mes enfants », deuxième film de Mia Hansen-Love, 28 ans, l’histoire d’un producteur indépendant (Louis-Do de Lencquesaing) et de ses difficultés financières qu’il cache à sa famille.

– Et pourquoi pas un western australien ? Grand prix du festival de Valenciennes, « The Proposition », de John Hillcoat, a été écrit par Nick Cave, qui en a composé la musique et se passe dans le bush à la fin du XIX e siècle.

23 décembre

– « Le Soliste », de Joe Wright (« Reviens-moi » et « Orgueil et Préjugés ») est l’histoire vraie d’un journaliste en crise (Robert Downey Jr) et de sa rencontre avec un vagabond qui joue extraordinairement bien du violon (Jamie Foxx) et qu’il veut sortir de la rue.

– Les amateurs de comédie américaine pas trop regardants quant à l’originalité des ressorts comiques, pourront apprécier « Pas si simple... », de Nancy Meyers, un trio amoureux d’âge mûr avec Meryl Streep, Alec Baldwin et Steve Martin.

– « Tetro », de Francis Ford Coppola, tourné en numérique et en noir et blanc en Argentine, évoque deux frères (Vincent Gallo et le débutant Alden Ehrenreich) sur lesquels plane l’ombre d’un père despotique (Klaus Maria Brandauer). Depuis « Conversation secrète », c’est le premier scénario original écrit par Coppola, qui y a mis des éléments autobiographiques.

30 décembre

– Dans « le Bel Âge », premier long métrage de Laurent Perreau, Michel Piccoli est un compositeur meurtri par la vie qui héberge sa petite fille orpheline de 17 ans (Pauline Étienne, prix d’interprétation au festival des jeunes réalisateurs de Saint-Jean-de-Luz). Deux solitudes, deux générations qui se repoussent et s’attirent à la fois.

– Deuxième film de l’année consacrée à la célèbre couturière, « Coco Chanel & Igor Stravinsky » est signé Jan Kounen et évoque la liaison passionnée entre les deux créateurs, incarnés par Anna ouglalis et Mads Mikkelsen.

– « La Merditude des choses » : pour les amateurs d’humour décalé voire scatologique, le troisième long métrage du Flamand Felix Van Groeningen, lauréat du festival du film grolandais, tragicomédie sur une famille au seuil de la marginalité et baignant dans l’alcool.

RENÉE CARTON
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Source : lequotidiendumedecin.fr