Les cinéastes iraniens Jafar Panahi et Mohammad Rasoulof sont sous le coup d’une condamnation à six ans de prison et vingt ans d’interdiction de travailler contre laquelle ils ont fait appel. Ils seront présents à Cannes par l’interpédiaire de deux films réalisés dans des conditions semi-clandestines. « Au revoir », de Rasoulof, raconte l’histoire d’une jeune avocate de Téhéran en quête d’un visa lui permettant de quitter le pays. « Ceci n’est pas un film », réalisé avec Mojtaba Mirtahmasb, évoque la vie quotidienne de Jafar Panahi en attente du verdict de la cour d’appel. « Le fait d’être en vie et le rêve de garder le cinéma iranien intact nous encouragent à dépasser les restrictions actuelles qui nous sont faites », indique le cinéaste dans un message envoyé au festival le 5 mai. « Nos problèmes sont nos fortunes, ajoute-t-il. La compréhension de ce paradoxe prometteur nous invite à ne pas perdre l’espoir et à poursuivre notre chemin. »
Des nouvelles de Jafar Panahi
Publié le 11/05/2011
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Source : Le Quotidien du Médecin: 8960
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