Cinéaste anglais novateur, Andrew Kötting s’est distingué avec sa première réalisation, « Gallivant », en 1996, récit d’un voyage accompli avec sa grand-mère et sa fille, atteinte du syndrome de Joubert. Pour « Ivul », son troisième film, il a dû s’expatrier faute de financement, et c’est dans les Pyrénées qu’a été tournée cette coproduction franco-suisse. Elle évoque la décomposition d’une famille qui habite un grand manoir en ruine au fond d’une forêt. Un jour, le père, un émigré russe excentrique, surprend le fils adolescent et la fille aînée dans un jeu à la fois intime et innocent et bannit le garçon, lequel disparaît dans les bois, jurant de ne jamais remettre pied à terre. Le film est âpre, sombre, avec des éclairs d’humour et de lumière, hymne à la force des arbres, de la nature.
« Ivul » : dans les arbres
Publié le 19/01/2010
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : Le Quotidien du Médecin: 8690
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