Le détournement de classiques n’est pas toujours apprécié. La jeune auteure anglaise Karena Rose, ex-professeur de danse orientale, a pris le risque et met au goût du jour érotique le célèbre roman de Charlotte Brontë, « Jane Eyre », qui date de 1847. « Jane Eyrotica » revisite ainsi la vie de la pauvre orpheline rejetée par sa famille et qui ne quitte l’Institut Lowood que pour devenir gouvernante au manoir de Thornfield et plonger dans un univers de passion et de sexe incarné par le maître de la maison, Mr. Rochester. Rien n’est inventé mais tout est crûment détourné et axé sur la lutte infernale entre l’amour et le désir.
MA éditions, 300 p., 14,90 euros.
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