Trois films français dominent l’affiche cette semaine. Avec « Rose et Noir », Gérard Jugnot propose un « carrosse movie » de Paris à Séville. Il y incarne un couturier du XVI siècle qui devra affronter l’Inquisition. Une comédie pour parler de l’intolérance, religieuse, sexuelle et sociale. Autre comédie, « Divorces », de Valérie Guignabodet, qui n’est pas une suite de l’intéressant « Mariages ! » mais une nouvelle exploration du couple, ici formé par Pascale Arbillot et François Xavier Demaison. Dans un autre registre, Stéphane Brizé (« Je ne suis pas là pour être aimé ») réunit Vincent Lindon et Sandrine Kiberlain dans « Mademoiselle Chambon », la simple histoire, adaptée d’un roman d’Éric Holder, d’un maçon qui tombe amoureux de l’institutrice de son fils.
Le film chilien « La nana (la bonne) », de Sebastián Silva, débarque sur les écrans bardés de prix glanés dans les festivals de Sundance, Paris, et Biarritz, en particulier pour son interprète Catalina Saavedra. Et aussi : de l’horreur américaine avec « The Descent : Part 2 », de Jon Harris?; une comédie allemande, « Français pour débutant », de Christian Rein ; un drame israélien, « 7 minutes au paradis », d’Omri Givon. Et trois films pour enfants
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