Avec « Fraenkel, un éclair dans la nuit », Gérard Guégan, , auteur prolifique et engagé, sort de l’ombre un homme au destin hors normes. Théodore Fraenkel (1896-1964) a participé aux guerres mondiales, en Russie pendant la Révolution de 1917 en tant que médecin auxiliaire et au sein de l'escadrille Normandie-Niémen en 1945, il s'est engagé dans la guerre d’Espagne et, en 1960, a signé le Manifeste des 121 pour le droit à l’insoumission en Algérie. Nommé externe des hôpitaux après sa démobilisation, il fréquente les premiers dadaïstes parisiens et les surréalistes, jusqu’à la rupture en 1923, où il retourne à la médecine générale et devient chef de laboratoire à l’hôpital Bretonneau à Paris. En 1925, avec Antonin Artaud et Robert Desnos, il rédige la « Lettre aux médecins-chefs des asiles de fou », publiée dans le troisième numéro de « la Révolution surréaliste » (L’Olivier, 312 p., 19 €).
Un médecin engagé
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Publié le 07/05/2021
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Source : Le Quotidien du médecin
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